J’ai été frappé par la lecture de l’Evangile selon Luc (au chapitre 15) où l’on trouve la parabole de la brebis perdue, de la pièce de monnaie perdue et du fils perdu.
• La brebis perdue (Luc 15:3-7). Pour le berger, cette brebis égarée ne représentait qu’un pour cent de son troupeau. De nos jours, cela apparaît insignifiant, mais d’une grande valeur matérielle pour un berger du premier siècle qui connaît chacune d’elles par son nom.
• La pièce perdue (Luc 15:8-10). Cette seule pièce représentait le dixième de ce que cette femme avait dans sa bourse. Cette pièce était lourde de conséquence pour son budget et sa vie.
• Le fils perdu (Luc 15:11-31). Ce fils prodigue était le seul responsable de son infortune et de sa misère. Il avait attiré la honte sur sa famille et un profond déchirement pour son père. Cependant, ce comportement coupable ne retirait en rien le fait qu’il soit perdu !
Quand il revint à la maison, s’attendant au pire, le père l’accueillit avec une incroyable démonstration d’amour. Pourquoi ne pas entendre ses propres mots ?
« Nous allons faire un grand festin et nous réjouir, car voici, mon fils était mort, et il est revenu à la vie ; il était perdu, et je l’ai retrouvé ».
Dans chacune de ces trois paraboles, quelque chose d’estimable et de grande valeur a été perdu. Dans chacun des cas, un effort particulier a été fait pour retrouver et restaurer.
Lorsque ce qui était perdu a été retrouvé, alors une fête en a suivi. Jésus compara ces exemples à la fête qui se célèbre dans les Cieux lorsque quelqu’un se tourne vers Christ. Il disait : « Je vous le déclare, il y a de la joie parmi les anges de Dieu pour un seul pécheur qui change de vie » (v10).
Et comme le père du fils prodigue, notre Père Céleste accueille avec amour, pardonne et restaure chaque enfant perdu qui revient à Lui de tout cœur.
Certaines choses sont d’une telle valeur que lorsqu’elles disparaissent, qu’elles sont égarées, perdues, cela crée une obsession, une quête de chaque instant. La valeur est proportionnelle à l’intensité de la recherche. Et de tout ce que nous pouvons chérir, rien n’équivaut à la valeur d’une vie humaine.
Dans notre pays, il y a des millions de personnes perdues. Pas perdues dans le sens où on ne sait pas où elles se trouvent géographiquement et physiquement, mais perdues au sens où elles sont si loin de Dieu qu’elles sont séparées de sa grâce, de sa présence et de son amour. Elles ont désespérément besoin d’être retrouvées par Lui et sauvées de la mort éternelle. Ils sont encore des milliards dans ce cas !
Ils sont aussi dans votre quartier, dans votre rue, dans votre voisinage immédiat.
Il ne tient qu’à nous d’engager les recherches !
Peut-être pensez-vous que c’est une chose difficile ou bien n’avez-vous rien sous la main pour commencer ?
C’est la raison pour laquelle nous vous proposons de vous envoyer gratuitement des traités en quantité suffisante pour vos projets.
Si vous souhaitez en recevoir, nous sommes à votre disposition, afin que nul ne se perde, notamment ceux qui vous sont les plus chers !
Vous souvenez-vous de ce beau cantique :
« Partout, partout, je réclame la brebis que j’aime tant. Sa plainte a troublé mon âme, et je pleure en la cherchant… » ?
La suite de ces strophes conclut dans cet élan de joie :
« Chantez, anges, dans la gloire ; ouvrez-vous ô portes d’or ! C’est un grand jour de victoire, j’ai retrouvé mon trésor ! ». Il s’est donc passé quelque chose pour en arriver à cette conclusion glorieuse : Le berger a cherché et a retrouvé sa brebis !
Que ce soit par la prière, le soutien financier et le témoignage de maison en maison, ensemble, nous ne resterons pas insensibles aux cris perçants de ce monde en perdition et pourtant tellement aimé.
Dans la joie de son service commun,