Porter des chaussures est optionnel. Mais se nourrir ne l’est certainement pas.
Conduire une voiture est optionnel. Cependant, une fois que vous avez pris cette option, conduire du bon côté de la route ne l’est plus.
Devenir un chrétien est également optionnel. Personne n’est obligé de le devenir puisque c’est une décision personnelle… Toutefois, dès lors que vous avez demandé à Jésus-Christ de prendre le contrôle de votre vie, votre comportement, vos attitudes, vos pensées, vos priorités ne sont plus du tout des options. Pas davantage, votre engagement dans la diffusion de la Bonne Nouvelle, à en croire les paroles de Jésus (Marc 16:15) et des apôtres (I Pierre 3:15).
Bien entendu, vous pouvez toujours décider de ne pas obéir et de faire uniquement ce que vous voulez. Mais attention !
Il y a toujours des conséquences à chacun de vos actes…
Si par exemple, vous décidez de ne plus manger, la conséquence est radicale car alors vous invitez l’infection, la maladie et éventuellement la mort si vous persistez.
Pour la même raison, si vous décidez de ne pas conduire votre véhicule sur le côté droit de la chaussée, la moindre des conséquences inévitables sera un procès-verbal de la gendarmerie… Je vous laisse imaginer l’irréparable, le pire.
C’est un principe tout aussi vérifiable dans la vie chrétienne.
Choisir de ne pas obéir, de ne pas suivre les instructions que le Seigneur nous a laissées dans Sa Parole, vous exposerait au grand danger de la disqualification.
Et puis, choisir de ne pas se mettre en route, contrairement à ce que faisaient les premiers chrétiens dans leur témoignage, leur générosité et leurs prières,
• vous conduirait sans doute à abandonner la course,
• voilerait aux autres l’authenticité de votre service pour le Seigneur et surtout,
• priverait une foule de personnes de la joie du pardon de leurs péchés et d’acquérir l’espérance de la vie éternelle par Jésus-Christ.
C’est la raison pour laquelle nous vous invitons encore à nous rejoindre en cette année qui s’élance, au moyen des éléments joints. Il nous servira, tel un trait d’union solidaire, à nous retrouver pour le meilleur.
Beaucoup de croyants ne se sont pas encore engagés dans la transmission de l’Evangile ici et ailleurs, par ignorance ou par manque de compréhension de ce qui touche le plus le cœur du Seigneur. (2 Pierre 3:9).
Participer, d’une manière ou d’une autre, à rendre accessible, disponible, le fruit de l’Amour de Dieu manifesté aux hommes, est un mandat, pas une option.
C’est aussi un privilège auquel est attachée une grande rétribution. N’est-il pas écrit que celui qui est généreux connaîtra l’abondance et que celui qui donne à boire aux autres sera lui-même désaltéré (Proverbes 11:25) ?
En ce mois de février, qui nous donnera à nouveau l’occasion de célébrer le retour de la lumière et des jours plus longs, nous voulons vous dire notre joie et notre attente à Son Service, tous ensemble.