Novembre 2016

Je suis certain que vous connaissez déjà mon nom, même si je ne vous le donne pas tout de suite !

En fait, je suis un voyageur de classe internationale. J’ai visité près de 200 nations. Quelques-unes d’entre elles sont fermées aux missionnaires, mais des amis m’y ont fait entrer clandestinement. Autrefois, j’ai franchi sans bruit de nombreux murs dont les rideaux de fer ou ceux de bambou. Au cours des combats au Moyen-Orient, en pleine révolution ou guerre tribale d’Afrique, je suis là!
J’ai transmis mon message dans les Iles Salomon comme au Népal, en Bolivie, à Basse-Terre et à Paris. Je suis même allé au sommet des arbres retrouver des familles pygmées qui m’ont très bien accueilli !

Je suis un évangéliste en papier et mon message est toujours simple et court. Il est résolument clair et précis, afin de m’adresser directement à tous ceux qui m’ont pris en mains. Je parle la langue écrite de chaque pays. Si toutefois je me trouve face à l’analphabétisme, alors mes cousines de la CMM qu’on appelle CD, Internet, réseaux sociaux, prennent immédiatement le relais.

Je suis accessible à tous, du président au plus simple citoyen. Je n’hésite pas à m’adapter à ceux qui vivent dans les prisons, les camps de réfugiés ou les bateaux. Je pénètre sans problème dans les casernes et dans les hôpitaux au travers de leurs aumôniers.

Savez-vous pourquoi rien ne m’arrête ? Simplement parce que je suis soutenu par la prière des croyants du monde entier.

Chaque jour je peux ainsi m’adresser à une moyenne de 247.000 âmes dans le monde. Près de 173 millions de personnes étudient un programme biblique de la CMM depuis mon dernier passage. Et… je ne suis pas trop gourmand ! Comme je vois le jour dans le pays où j’ai l’intention de travailler, je ne coûte pas de frais d’importation. Quand il m’arrive de voyager d’un pays à l’autre, je suis si discret et si léger qu’on ne fait pas attention à moi.

Parfois on m’a maltraité ! Je me souviens du sort qui m’a été réservé en Inde et au Mexique. Heureusement que je véhicule l’amour de Dieu car j’ai été plus d’une fois froissé…

Il n’y a pas si longtemps que Salvatore Paterno, gangster de la mafia, s’est tellement fâché en me voyant que j’ai failli faire un faux pli. Maintenant il a découvert le Seigneur et prêche l’Evangile dans deux églises d’Italie.

Parfois mon ministère provoque une haine fanatique.

Dans une ville du Nicaragua, ceux qui s’opposaient au message que j’apportais ont essayé de terroriser les chrétiens qui m’aidaient à répandre la Bonne Nouvelle de Christ. Un jour, deux cavaliers sont subitement entrés dans une église en faisant siffler leurs machettes ; ils ne purent pas pour autant anéantir mon action.

Dans un port d’Europe, j’ai parlé à 17 matelots chinois, par le moyen d’une petite fille accompagnée de son grand frère. Chacun d’entre eux a rencontré Jésus. Depuis, je ne les quitte plus quand ils parlent à d’autres marins sur les sept mers du monde.

Je prends maintenant l’habitude d’aller dans presque toutes les républiques autour de la Russie ou en Chine… J’y ai d’ailleurs des milliers de cousins. En effet, alors que j’étais dans le Caucase, des jeunes gens ont recopié mon message, afin de le recopier encore et de le donner à d’autres.

Oh, vous savez, je n’ai pas peur des mauvaises langues. Je suis sans préjugés. Je parle aux hindous, aux bouddhistes et aux juifs, aussi bien qu’aux animistes ou aux athées. D’ailleurs, Dieu m’accorde la faveur des musulmans. Je suis très actif dans les plus grandes nations musulmanes du monde : l’Inde, le Bangladesh, l’Indonésie, sans oublier bien sûr le Niger, le Mali et plusieurs grands pays de l’Afrique du Nord et du Moyen-Orient.

En fait, je prêche Jésus-Christ partout où les hommes vivent.

Vous voyez, vous me connaissiez bien : Je suis un traité CMM !

Je suis sans peur et sans reproche car Dieu est avec moi. Je sais que vous ne parlez pas tagalog, luvale ou hindi, ni même le quart des 1215 langues que je parle couramment. Votre vie ne suffirait pas à visiter les 210 régions linguistiques que je fréquente tous les jours…

Mais moi, j’aimerais devenir votre missionnaire, si seulement vous voulez bien m’envoyer.

Je viens de vous faire mon rapport sur le ministère béni que Dieu m’a confié, entre les mains des milliers d’Agents CMM qui sont répartis sur les cinq continents.

Souvenez-vous que vous pouvez m’épauler efficacement par la prière, l’offrande et la distribution.

Voulez-vous m’envoyer à quelques-uns de ces millions d’hommes et de femmes qui attendent ?

Voulez-vous également prier le Seigneur qu’il bénisse chaque parole que je leur apporte ?

Si vous le faites, vous serez heureux.

Toute l’équipe de la CMM se joint à moi en cette fin de lettre pour vous confirmer que la page imprimée reste une puissance extraordinaire entre les mains du peuple de Dieu, et dont le Saint-Esprit se sert miraculeusement !

D’avance, et ensemble, nous vous exprimons nos sentiments très reconnaissants pour votre aide précieuse à nos côtés.

 

VOTRE-AMI

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