Vous savez aussi qu’avec la meilleure volonté, les actions sont souvent limitées par les moyens qui font défaut.
Ce qui caractérise et rend unique la CMM, c’est qu’elle permet de diffuser gratuitement la littérature nécessaire pour atteindre chaque foyer dans tous les départements et territoires de France. De plus, elle offre à toute personne ainsi contactée, sans le moindre frais, l’occasion de s’informer, d’aller plus loin dans sa recherche et d’être mise en contact avec un lieu de culte proche de son lieu de vie. Je vous encourage d’ailleurs à visiter notre site de présentation de la CMM en Belgique.
Tout comme l’eau précieuse chez nous, une telle chance pour notre pays ne doit pas se gaspiller car elle peut devenir rare… Que pourrions-nous faire alors ?
Par la grâce de Dieu, la semence et les semeurs ont été pourvus à ce jour. Mais il va falloir arroser, arroser régulièrement alors que nous poursuivons la saison des semailles, pour préparer la moisson. C’est pour cela que nous avons besoin de vous car les actions et l’existence même de la CMM sont indiscutablement dépendantes de ce qu’elle reçoit.
Ce sont les petits ruisseaux qui font les grands fleuves. Cette simple constatation me permet de vous inviter à participer aux projets en cours dans toutes nos provinces et bientôt au Luxembourg.
Nous ferons alors un grand pas en avant, ensemble, pour arroser les cœurs de nos proches, de notre voisinage et des lieux visités cet été.
De plus, selon vos disponibilités, une offrande personnelle renouvelée, même minime, donnera à la CMM les moyens d’agir et de progresser dans le défi de l’évangélisation. Vos encouragements nous offriront les moyens de continuer d’être également à votre service.
Très fraternellement en Christ.
PS : Nous n’oublierons jamais que « Dieu qui fournit la semence au semeur et le pain qui le nourrit, vous fournira toute la semence dont vous avez besoin et la fera croître, pour que votre générosité produise beaucoup de fruits. » (2 Cor 9:10). Ce rappel de l’Apôtre n’était pas nouveau pour lui. Peut-être pensait-il à Isaac qui « fit des semailles dans le pays et récolta cette année-là le centuple de ce qu’il avait semé. L’Éternel le bénissait » (Genèse 26:12)